Parole d’enfant

S’il est une constante dans la vie de Vincent Delaroux, c’est bien son engagement dans des associations, qu'elles soient économiques, caritatives ou simplement festives. Pour n’en citer que quelques-unes, retenons : le club de l’Amitié, le Rotary, les Anysetiers, les Gastronomes de la mer ou encore et sans doute l’implication la plus importante : la Jeune Chambre Economique (lien onglet Promo piétons). Des activités tournées vers ses concitoyens. Parmi elles, se trouve une action en faveur des enfants dans l’association « Paroles d’enfants »…

L’harmonie entre les droits des enfants et l’opéra

C’est à l’occasion d’une rencontre entre Vincent Delaroux et Gérard Hiéronimus, musicien auteur, compositeur, spécialisé sur le thème de l’enfance que le projet est né. La particularité de ce musicien étonnant était d'exercer son activité culturelle en libéral, refusant, afin de garder sa liberté de ton, tout subventionnement. « Je me suis alors demandé ce que nous pouvions faire pour l’aider. Son projet était tellement séduisant : susciter la réflexion sur les conditions de vie des enfants de par le monde grâce à la tenue de conférences ou de manifestations culturelles, théâtrales et musicales ».VD

C’est donc presque naturellement que Vincent Delaroux préside l’association « La voix des enfants ». Le projet est ambitieux : mettre l’art au service des nobles causes de l’enfance. Et la première opération d’envergure ne sera rien de moins qu’une pièce musicale « L’Héritage » immédiatement suivi de « L’opéra d’chaqu’jour ». Ou l’art d’illustrer de manière ludique et artistique, des sujets profonds et sensibles. Lire document : Avec l’Opéra d’chaq’jour, l’art vole à la rescousse des droits de l’enfant picto-doc.jpg

Pendant deux à trois années, la troupe composée d’une trentaine d’enfants, acteurs, chanteurs ou musiciens accompagnés d'adultes, se produit sur différentes scènes, touchant un public d’environ 3500 spectateurs. Quatre à cinq spectacles différents seront créés ; lire document : lettre d‘invitation au spectacle « 3000 » picto-doc.jpg

L’action de Vincent Delaroux se défend de tout dogmatisme « Nous ne sommes pas donneurs de leçons, nous apportons juste notre pierre à l’édifice de la réflexion commune. »VD

La belle aventure culturelle s’éteint lorsque Gérard Hiéronimus est muté (il est également professeur de conservatoire).
Vincent Delaroux est heureux d’avoir soutenu et accompagné ces projets musicaux, lui qui confesse un seul regret dans sa vie, celui de n’avoir pas appris à jouer du piano…